Bureaux de Google : phase 1, à Kitchener (Ontario)

Cible : certification LEED v4 C+CI de niveau Argent

Pourquoi LEED v4

Pour la phase 1 de l’aménagement de ses nouveaux locaux à Kitchener, Google vise l’obtention de la certification LEED v4 pour la conception et la construction de l’intérieur (C+CI) de niveau Argent, voire de niveau Or, dans un objectif plus ambitieux. Google se passionne pour la création de milieux de travail sains et productifs qui inspirent et dynamisent ses employés. Comme plusieurs crédits de LEED v4 accordent de l’importance à la santé et à la transparence en matière de matériaux, le choix du nouveau système d’évaluation lui a semblé logique. Ce système donne aussi à l’entreprise une occasion de faire preuve de leadership dans le marché tout en tirant des leçons qui seront utiles pour ses futurs projets lorsque LEED v4 deviendra le système d’évaluation obligatoire.

Au sujet du projet

Les espaces de bureaux qui totalisent 100 000 pieds carrés sont situés dans le Breithaupt, un édifice historique du quartier des entrepôts du centre-ville de Kitchener qui a été restauré. Le bâtiment est à proximité de divers modes de transport en commun et de pistes cyclables, dans une zone commerciale dense et bien développée, ce qui atténue les impacts de l’utilisation de l’automobile.

L’utilisation de matériaux sains était la première des priorités de Google et chaque matériau a fait l’objet d’un processus de sélection rigoureux et avant-gardiste, dans une volonté d’éliminer la présence de substances toxiques dans les espaces. Google va plus loin encore dans la promotion du bien-être de ses employés et leur offre un programme de nettoyage vert, des programmes de santé et de nutrition et un espace de conditionnement physique pleinement équipé qui comprend un mur d’escalade.

Pour mieux comprendre la consommation d’énergie du bâtiment et découvrir les possibilités d’améliorations futures, des compteurs divisionnaires ont été installés à de nombreux endroits. Google tient toujours à installer des équipements économes en eau. Ce projet ne fait pas exception et l’entreprise a franchi une étape de plus en engageant le propriétaire bailleur dans sa démarche et en réduisant les volumes de chasse des toilettes et urinoirs du bâtiment.